En tant que parent vous faites de votre mieux pour accompagner votre enfant dans son évolution  :

Avec les outils que vous avez dans le moment présent.

Vos expériences de vie vous permettent d’évoluer en permanence, de ce fait vos outils et comportements évoluent en même temps.

Évitez de vous culpabiliser, de vous juger, car vous faites comme vous pouvez, même quand votre comportement est inapproprié.

Évitez de subir les remarques et reproches de votre entourage, vous pouvez vous positionner en douceur pour vous faire respecter. Souvent vos proches vous apportent des conseils bienveillants, soyez à leur écoute, prenez ce qui vous correspond  tout en respectant vos besoins et vos ressentis.

Il n’y a que vous qui sachiez ce qui est juste pour vous même, et il n’y a que vous qui puissiez décider de changer votre vie, en étant acteur et  créateur de celle-ci.

Maintenant, il vous faut prendre conscience que vous avez été programmé par votre éducation familiale, sociale, culturelle, relationnelle…

Tous ces ancrages, programmations, auto programmations, croyances… peuvent parasiter vos comportements de façon consciente ou inconsciente.

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Il n’est pas toujours facile pour vous de les identifier et de pouvoir vous en libérer seul.

Je vous aide à changer votre vision de vous même, des autres et de votre environnement.

Vous accompagne afin de modifier votre comportement, vos habitudes de vie, votre communication…

En respectant vos besoins, vos valeurs, votre individualité, sans conditionnements.

Cela est possible avec différents outils, je vous accompagne à vous libérer de vos programmations familiales, sociales, culturelles… afin que vous puissiez naître à votre vraie nature, vivre enfin votre vie sans conditionnements, ce qui vous évite de les transmettre à votre descendance.

Coaching  Psychologique –  Thérapie :  Individuel – couple – familial – enfant.

Soin Énergétique : Individuel – Adulte – Enfant. 

Ateliers à Thématique : Couple, famille, enfants.

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Essayez de ne pas reproduire, inconsciemment ou consciemment, le schéma d’éducation que vous avez connu durant votre propre enfance  : pour cela soyez au clair avec vous même, libérez-vous des programmations familiales.

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La parentalisation : est un processus qui amène un enfant ou un adolescent à prendre des responsabilités plus importantes qu’il ne peut assumer quant à son âge et sa maturation : 

il fait des efforts pour assurer le bien-être de ses parents et de ses frères et sœurs plus jeunes et pallier à leurs insuffisances

S’il vous plaît, n’oubliez pas que votre enfant n’est pas le parent de son petit frère ou de sa petite sœur. Il n’est pas non plus votre parent.

S’il exprime le désir de jouer ou de s’occuper du plus petit, et qu’il en a les capacités, il n’y a aucun souci.

Mais si vous lui demandez régulièrement de tenir un rôle qui n’est pas le sien, il peut en souffrir, et des rivalités peuvent naître entre enfants.

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Votre enfant n’est pas non plus votre psy, évitez de lui confier vos états d’âme, de vous plaindre sans cesse en sa présence des lourdes charges quotidiennes qui vous incombent…

 

L’objétisation : dans d’autres cas l’enfant ou l’adolescent est pris à parti, et à témoin, il se voit confier des secrets, des histoires de famille, que l’adulte sait arranger à sa faveur, modifier, inventer à sa guise, de façon consciente ou inconsciente, et dans un seul intérêt : faire perdre tout crédit à l’autre parent pour gagner ses entières faveurs.

L’enfant pris au cœur du conflit parental et soumis à la violence psychologique qui en découle, risque de se voir retiré par un de ses deux parents, le parent dit « toxique », sa place et son rôle d’enfant.

Il devient alors messager, porteur de devoir, de responsabilités, et d’enjeux, qui ne lui incombent légitimement en rien, mais qui le contraignent sans qu’il en ait conscience.

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Évitez de vous disputer, de mal vous parler devant vos enfants, car vous êtes leurs modèles et ils vont vous recopier.
L’imitation commence tôt. Des enfants qui voient leurs parents se disputer ­rejouent volontiers le conflit, ne serait-ce que pour se persuader que les disputes sont une chose banale et éloigner la peur d’une éventuelle séparation.

Tout ceci entraîne stress, angoisses et peurs pour l’enfant qui ne trouve plus sa place, et cela a une répercussion sur ses rapports dans la fratrie et dans la famille. Il risque de mal se comporter, parfois de façon inconsciente.

Si votre couple connaît des tensions, essayez autant que possible d’en discuter dans l’intimité et évitez les éclats de voix.

Évitez de montrer votre désaccord devant votre enfant, car celui ci s’engouffrera dans la brèche et vous en subirez les conséquences.

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Un enfant a aussi besoin d’un cadre, dans le sens où il n’a pas toujours conscience des dangers. Sans le freiner dans sa découverte du monde, ni lui transmettre vos peurs, il est important d’expliquer à l’enfant pourquoi il ne peut pas tout faire.

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Lors de conflits avec un enfant ou disputes entre enfants :

Les rivalités entre enfants sont normales et saines. C’est un chemin pour aller vers l’autre. Elles se gommeront naturellement en grandissant si les parents ne s’évertuent pas à faire de comparaison ou de préférence entre les enfants.

Il est donc important de stimuler et valoriser les qualités et la personnalité de chaque enfant, sans entretenir de compétition.

Plutôt que de vous mettre à crier vous aussi, ce qui ne ferait qu’ajouter de l’électricité dans l’air, regardez vos enfants droit dans les yeux, quitte à vous mettre à leur hauteur, et adressez-vous à eux d’une voix égale, sans faire de différence. Vos propos n’en n’auront que plus de poids.

Veillez à ne pas favoriser un enfant parce que vous vous sentez davantage de connivence avec lui,  qu’il a un sourire ravageur, et qu’il vous fait craquer…

Une famille ou une fratrie qui s’entend bien n’est pas une famille ou une fratrie où l’on ne se dispute pas !

La rivalité fait partie des relations entre enfants. On peut considérer que les enfants s’entendent bien lorsque les moments de complicité sont aussi nombreux que les moments de rivalité. Lorsqu’ils arrivent à se manquer l’un l’autre quand ils sont séparés.

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 Un enfant est une personne à part entière :

Même si un enfant n’est pas un adulte, évitez de lui parler comme à un demeuré, il verra tout de suite si vous lui parlez d’une manière différente de celle que vous utilisez couramment entre vous, il est capable de comprendre un langage adulte si vous l’habituez dès sa naissance.

Pourquoi une sucette s’appellerait Tototte, et un biberon bibi, pour lui ? 

Vous trouvez peut être ça mignon…

Mais si on vous parlait comme cela, vous auriez peut être l’impression que l’on ne vous prend au sérieux, et que l’on se moque de vous !  Un enfant voit et sent la différence, parlez lui normalement et il se sentira inclus, accueilli et reconnu dans la famille.

Ce qu’il a à vous dire a autant d’importance que ce que vous avez à lui dire, souvent les enfants ont des choses très intéressantes à nous dire, mais nous ne les écoutons pas assez.

Ils voient le monde avec leurs yeux d’enfants, sans filtre. Ils peuvent réveiller en nous l’enfant intérieur, notre créativité, notre joie, ce sont nos miroirs et nous sommes leurs modèles, alors faisons attention à ce que nous leur transmettons, essayons de tous nous écouter afin de trouver une harmonie, et que chacun se sente à sa place.

Les enfants s’enthousiasment et s’émerveillent facilement, contrairement à nous les adultes qui somment conditionnés et programmés par la société, notre éducation, notre égo et notre mental… mais nous pouvons dépasser nos conditionnements et choisir de ne pas les transmettre à nos enfants.

Élisabeth ROGER

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Mes articles sur la parentalité – la maternité – la vie de couple et de famille – Éducation consciente – bienveillante – Pédagogie alternative

 

 

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