Le Magicien des Maux – Conte Éducatif – Accompagnement à l’enfance – parental – familial – Montpellier -Lattes – Mauguio

Elisabeth ROGER    Montpellier, Nîmes, Lattes 34970

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Bio Énergéticienne – Guérisseuse.

Thérapeute Coach en développement personnel – Relations humaines. atelier contes

Accompagnante Parentale et Familiale – Éducation Consciente et Bienveillante.

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Voici l’histoire d’un homme extraordinaire,  un magicien des mots, il écrit et met en scène des œuvres afin de soigner les maux de ses prochains. Voilà la noble tâche qu’il s’est donné dans sa vie.


Il s’appelle Peter Dubarry, il est anglais et fait partie de la haute société Londonienne.

Peter a eu une enfance difficile, il a perdu 2 frères et une sœur de maladie génétique.

Sa maman ne s’est jamais vraiment remis de ces deuils. Elle a quelque peu perdu la tête, elle ne le voit plus vraiment, il est là comme transparent devant elle.

De son enfance, il lui reste un vide. Pour le combler et survivre à cette jungle qu’est la vie, il se réfugie en lui-même, dans son imaginaire, dans ses rêveries, et il écrit.


Mais voilà, le problème est que Peter a perdu son inspiration, c’est le trou noir. 

Son public boude ses pièces, les gens s’ennuient, s’endorment pendant la représentation.

Ses écrits sont le reflet de sa vie, un mariage raté, une enfance désolée, une vie de bourgeois sans saveur, sans profondeur, sans joie.

En manque d’inspiration, il décide d’aller la raviver en allant se promener dans les quartiers populaires de Londres, là se cache la vraie vie, sans far ni fioriture.

Il se pose sur un banc dans un parc rempli de rires d’enfants, son cœur commence à se réchauffer au doux son des rires d’enfants.

Son regard s’attarde sur une charmante famille. Une maman et ses 4 enfants sont là à pique niquer, ils ont l’air d’avoir peu d’argent mais le cœur rempli de trésors.

Mary Davis est veuve, elle se sent isolée et n’a pas l’occasion de côtoyer le beau monde. Elle reporte tout son amour sur ses enfants.

Les enfants jouent et inventent des histoires de pirates et d’indiens, d’île au trésor et de sirènes, de chevaliers et de fées, de dragons et de contrées magiques.

En les regardant, le cœur de Peter se met à nouveau à battre, il reprend un rythme plus régulier. Enfin une étincelle de joie naît dans son cœur.


Il s’approche d’eux, se présente.             

Peter : bonjour, je m’appelle Peter Dubarry, puis je me joindre à vous ?

Mary Davis est surprise de cette demande, car elle a reconnu le célèbre écrivain. Elle acquiesce avec plaisir, se disant que ce n’est pas tous les jours que l’on rencontre un homme célèbre.

Mary : bien sûr, avec plaisir, je suis enchantée de faire votre connaissance.

Le cœur de Peter est tout emballé à l’idée de partager un moment d’innocence et de jeu avec les enfants.

Le plus grand s’appelle Jean, puis il y a Gabriel, Jack et le petit Michael.

Gabriel est plus sombre et réservé, son cœur s’est resserré depuis le décès de son père George Davis.

Ses frères eux sont plus insouciants et profitent de la vie.

Peter se reconnaît en Gabriel et se dit qu’il peut l’aider à retrouver son enfance envolée le jour où son père est mort. Après tout, il est un magicien des maux.


Une complicité immédiate se noue entre Peter et les enfants, Mary est heureuse de trouver en lui un véritable ami.

Dans les semaines qui suivent, Peter côtoie régulièrement Mary Davis et ses  enfants. Peter retrouve son âme d’enfant auprès de ceux qui sont désormais sa plus précieuse source d’inspiration.

Le père de Mary et grand-père des enfants, Mr Charles Darling ne voit pas cette relation d’un très bon œil, il la trouve inconvenable et fait tout pour éloigner Peter Dubarry de sa famille.

Grand père : demain les enfants vous n’irez pas jouer aux cowboys et aux indiens, vous ferez vos devoirs, rangerez la maison, et vous comporterez comme une famille modèle.

Sa fille Mary, sous son emprise n’ose rien dire, mais c’est sans compter sur Jean, l’aîné des enfants, qui lui répondit

Jean : Grand père je t’aime et je te respecte, mais ce n’est pas parce que tu nous aides financièrement que tu as le droit de régenter notre vie. Maintenant ça suffit, laisse nous vivre la vie qui nous rend heureux !


Peter est proche des enfants, ils jouent et créent ensemble de joyeuses aventures qu’ils mettent en scène dans le jardin.

Peter : au moi, grand chef indien, je te somme de libérer ma fille Winona la tigresse, sinon je te coupe la main et je t’arrache ton cœur pirate.

Jean : par la barbe de mon grand père, pour qui te prends tu donc, tu ne me fais pas peur, nous allons tous vous capturer et vous donner à manger au crocodile Tic Tac…

Michael : moi j’ai mieux qu’un crocodile, j’ai un méchant dragon !

Jack : toi tu es petit, tais toi sinon je te mets au cachot !

Mary : moi je veux juste voler, au milieu des fées et des petits oiseaux blancs, vos bagarres m’indiffèrent.

Mais Gabriel a du mal à se plonger dans ce monde imaginaire, il refuse de participer, il résiste.

Gabriel : ce ne sont que des foutaises, des mensonges, des inventions !  Rien n’est réel, alors à quoi bon perdre mon temps avec des choses qui n’ont ni queue ni tête et qui n’existent pas !

Peter s’interroge : Comment raviver la petite flamme dans son cœur qui agonise ?

Les rouages de son cœur sont grippés, celui-ci tourne au ralenti, a des ratés, parfois il s’emballe puis s’éteint presque, sa lumière pâlit.

Il ressemble à un robot de fer blanc, creux et froid, sans cœur, sans émotions. Plus de tic tac à l’intérieur, aucun battement.

Comment faire repartir la mécanique de son cœur ?


Gabriel est en colère à l’intérieur de son cœur, pourquoi son papa était parti, il lui avait promis de l’emmener jouer au parc en revenant d’un voyage.

Mais voilà, il n’est jamais revenu. En vérité son voyage n’était rien d’autre qu’un séjour à l’hôpital, car il souffrait d’une grave maladie. Depuis la mort de son père, Gabriel n’a jamais plus pleuré, ne joue plus, s’isole, peut être pense t’il que s’il se comporte comme un grand, il va moins souffrir.

Pour le protéger ses parents n’avaient rien trouvé de mieux que de lui mentir, pensant bien sûr faire au mieux pour lui.

Pourquoi lui avait on menti, pourquoi… il en veut à la terre entière et ne supporte pas les menteurs, il a peur de la mort et de la maladie, il se sent seul, la vie passe et il attend… impuissant.


Gabriel : pourquoi tout le monde me ment, je ne suis pas aveugle, je ne veux pas que l’on se moque de moi, papa aussi m’a menti, je croyais qu’il serait toujours à mes côtés.

Gabriel : Vous croyez que les enfants sont bêtes, qu’ils ne voient pas quand les grands mentent ! Vous croyez qu’en faisant semblant vous allez changer les choses ! Vous pensez qu’en essayant de croire à vos sornettes les choses seront différentes ! Il est parti et je vous déteste !

Gabriel part en jetant tout ce qu’il a à portée de main, il claque la porte et s’enferme dans son refuge, la cabane qu’il a construit avec ses frères dans l’arbre du jardin.


Peter décide de parler avec Gabriel en aparté, il lui raconte son histoire.

Peter : tu sais, je suis déjà passé par ce que tu traverses, j’ai ressenti moi aussi la douleur, j’ai rendu l’âme tellement de fois, mais je suis toujours vivant.

Je crois qu’on peut se servir de sa colère et de ses peurs comme d’un  moteur, pour avancer et libérer son cœur,  le noir nous rappelle parfois où la lumière peut être.

Je vois toujours mes frères et sœurs, dès que je ferme les yeux, je les vois et je peux partager avec eux de merveilleux moments.

Gabriel : n’importe quoi, ils sont morts, ils ne sont pas là, tu mens !

Peter : Bien sûr ils ne sont pas vraiment là, mais je ne te mens pas. Ils sont toujours là, dans mon cœur et dans ma tête, dès que je souhaite, et ça pour toujours, rien ni personne ne pourra jamais me les enlever.

Peter : tu vois quand je crois que je suis seul et abandonné, quand je doute, que je trébuche, je ferme les yeux et je ne suis plus seul.

Ils ne sont pas partis, ils sont sur chaque page de mon imagination, je peux leur rendre visite quand je le souhaite, en me rendant moi-même dans mon pays imaginaire.

Tu peux essayer si tu veux, je ne peux pas te garantir que ça marchera, mais si tu n’essaies pas tu ne sauras pas. Il suffit juste d’y croire. Cela fonctionnera si tu te fais confiance, moi je te fais confiance tu peux y arriver.

Gabriel : d’accord j’essaie, après tout je n’ai rien à perdre.


Gabriel prend son courage à deux mains, et avec la force d’un lion il fait face à ses peurs et sa colère.

Gabriel ferme les yeux et voit son papa, il se surprend à laisser son esprit divaguer et imaginer une promenade au parc avec lui.

Ce monde imaginaire change sa vie, Gabriel y met tout un tas de couleurs, il voit un arc en ciel. Au-delà de l’arc en ciel la vie est douce et les rêves deviennent réalité.

Gabriel peut être auprès de son papa quand il le souhaite, Peter n’a pas menti.

Quand il ouvre les yeux, un large sourire illumine son visage et les larmes coulent de ses yeux.

Gabriel : merci Peter, je le vois.


Peter : C’est moi qui te remercie, d’ailleurs je tiens à t’offrir ce carnet, écris tout ce qui te passe par la tête, la vie est une pièce de théâtre, laisse parler ton imaginaire.

Gabriel : mais je n’ai rien dans la tête, rien ne vient, comment je fais ?  Je suis un enfant, je ne peux pas écrire une pièce, je n’ai pas plus d’imagination qu’un homme de paille et j’ai le cœur plein de chagrin.

Peter : voyons, tu n’es pas un épouvantail sans cervelle Gabriel, fais des rêves d’aventures, laisse parler ton cœur, laisse sortir la baleine de la tête,  inspire toi de ta vie, de ta famille, de vos jeux…tout ce qui est enfermé dans ton imagination.  

Oz écrire et ça viendra tout seul. Si tu veux nous pouvons écrire ensemble, nous sommes là pour nous entraider.

Gabriel : je ne sais pas quoi dire

Peter : dis oui

Gabriel : D’accord, alors mettons nous au travail, nous allons raconter les merveilleuses aventures de la famille Davis.


Peter et Gabriel travaillent d’arrache pied, la joyeuse petite famille sert à la fois d’acteurs, de  public et de critique. Les choses prennent tournure et la pièce voit bientôt le jour.

Peter décide de produire la pièce dans le parc où tout a commencé, un parc public, où tous les enfants et les grands de ce monde vont  se côtoyer.

Mary : mais jamais ça ne marchera, mélanger des enfants avec des bourgeois, c’est de la folie !

Peter : au contraire, c’est du génie !   Cette pièce est magique, elle parle de nous tous, et elle va parler à l’enfant perdu tout au fond d’eux. N’oubliez pas, je suis le magicien des maux, je vais ramener tous ces gens en enfance et leur faire découvrir le pays imaginaire.

Mary : et comment allez vous faire pour les décors, les costumes…et oui même les rêves et la poésie ont un budget.

Peter : Nous ferons avec les moyens du bord,  vous voyez ce morceau de bois, c’est juste un bout de bois, mais moi avec mon imagination et un coup de peinture, je vais le transformer en un magnifique sceptre d’or aux yeux du monde.

 Je ferai des scènes oniriques et colorées,  tout cela dans des décors de carton pâte, et ce sera d’une beauté et d’une espièglerie exquise. Vous verrez, croyez moi !

Je ne suis peut être pas un vrai magicien mais je suis un grand illusionniste.


Toute la haute bourgeoisie afflue à la nouvelle d’une nouvelle pièce de Peter Barry. Les rumeurs courent à bon train.

Bourgeois : crois tu que sa pièce va être aussi mauvaise que la précédente, le magicien est il mort, sa carrière est elle finie ?

Bourgeoises : c’est un homme charmant et plein de sensibleries, mais il a perdu de son panache et de sa verve.

 


Entendant les réflexions des bourgeois, Gabriel blêmi et perd de son assurance, voyant son visage blanchir Peter dit à Gabriel   

Peter : la critique est facile de la part de ces gens qui ne font que jouer des rôles, qui portent des masques à longueur de journée pour « paraître » ils se prennent tous bien trop au sérieux.

Tu sais dès que tu as la moindre notoriété les gens veulent te rabaisser, dès que tu as la plus petite parcelle de bonheur  ils t’observent pour voir si tu va tomber.

Ne t’en fais pas, nous allons les dérider et faire parler leur enfant inté(rieur)

Gabriel : tu sais Peter, depuis que je me suis mis à écrire, je n’ai jamais pu m’arrêter, tu avais raison c’est magique, j’ai confiance.


Tous ces hommes et femmes de bonnes familles montraient des réticences à s’installer aux côtés de ces enfants.

Bourgeoise : mon cher, regardez ces enfants ils sont comme des insectes nuisibles, sales et bruyants. Que font ils donc ici, ce n’est pas leur place.

La pièce est assez inattendue, il y a toutes sortes de personnages imaginaires : Une fée, de méchants pirates, une jolie princesse, un magicien, des petits hommes, une méchante sorcière, un crocodile, une baleine, un robot de fer blanc, un lion, un épouvantail, un singe volant, une citée d’émeraude, des décors colorés. Un joyeux mélange !

Bourgeois : ma chère, je ne m’attendais pas à ça, je ne sais pas quoi en penser ni  comment réagir. Quelle est cette bizarrerie ?


Soudain débute une scène où des petits orphelins chantent à tue tête

Orphelins : «  nous on veut être comme Peter, on ne veut pas grandir, on veut rester toujours enfant, c’est notre plan d’avenir, on ne veut pas être comme les grands, tristes et embêtants, costume cravate, jamais le temps, de jouer avec leurs enfants, nous on veut être comme Peter, garder notre cœur d’enfant. »

Bourgeois : je suis choqué et offusqué de ces propos, comment oz t’il nous dépeindre de cette façon, nous qui sommes la fine fleur de Londres.

Bourgeoise : arrête un peu de rouspéter, il a raison, nous sommes trop sérieux.

Regarde un peu ses enfants qui rient et ont des étoiles plein les yeux, ça ne te rappelle rien ?

Moi ça me rappelle mon enfance, c’est bien loin, mais de les regarder rire et jouer, ça me fait tellement de bien, ça me rend heureuse, ça fait bien longtemps que je n’avais pas ressenti cela.


Tous les bourgeois observent les enfants et ils se regardent aussi les uns les autres, ils constatent en effet leurs mines sérieuses et rigides.

Pris d’auto dérision, au contact des enfants, tous ces adultes guindés, embourgeoisés commencent à se détendre, à sourire et ils se surprennent même à ozer rire.

Enfin l’enfant en eux s’exprime, Peter a gagné son pari, il a redonné le goût de la vie à Gabriel,  a enfin écrit une pièce digne de ce nom et  il est redevenu le grand magicien des maux.


Peter : tu vois Gabriel, je te l’avais dit, quoi de mieux que l’innocence et la pureté d’un rire d’enfant pour réveiller l’âme endormie d’un cœur pris par la glace. Je te remercie Gabriel, car sans ta famille et sans toi je n’aurai jamais pu écrire une telle œuvre.

La pièce finit sous un tonnerre d’applaudissements, les gens viennent congratuler et flatter Peter.

Bourgeoise : merci Monsieur Dubarry, vous avez redonnez ses lettres de noblesses à la comédie, ça me donne envie de redevenir une enfant, c’est vraiment la meilleure soirée que j’ai passé au Théâtre, il faut sûrement voir là l’œuvre du Crocodile Tic Tac. La magie opère à tout âge !


Gabriel répondit : oui la magie opère à tout âge ! Grâce à toi Peter j’ai compris que je pouvais être auprès de ce que j’aime, de tous ce que j’aime, y compris mon père.

J’envoie valser la mort, il est là dans mon cœur et mon esprit, je ne suis plus seul. 

J’avais l’impression qu’en perdant mon père ma vie s’était brisée en mille morceaux, que plus jamais je ne pourrai ressentir de sentiments, d’émotions.

J’étais un enfant perdu qui criait dans le vide, dans le froid, rongé par la colère.

Mais quand l’un part, est ce que l’autre en meurt ?

Ma lumière s’éteignait peu à peu, j’existais à peine, je traînais les pieds, mais soudain tu m’as souris, tu m’as bousculé, tu m’as sauvé.

J’ai retrouvé l’espoir, je suis là bien vivant, j’ai retrouvé l’envie de vivre, l’envie d’aimer.

J’arrête de résister au courant de la vie, maintenant que je sais que nous pouvons être tous unis.

J’ai retrouvé mon âme d’enfant, avant que passent la vie et les années,  je veux jouer, créer, vivre sans penser au lendemain.

Je couche des mots, des lettres sur mon cahier, des rêves dans la tête, des étoiles plein les yeux.

Et là, ça vient de je ne sais où, ça jaillit d’un peu partout,  je ris, je m’amuse et je ris !

Je suis redevenu un enfant, entre mon cartable et ma brosse à dent, je compose avec le temps et je m’évade de temps en temps.

Je fais tout ce que je veux, j’ai tellement de choses à partager, le passé est le passé, je sais que tu es là dans mon cœur et dans mes rêves papa, je peux te voir quand je veux, tout en continuant d’être insouciant et heureux.

Merci Peter, tu as réparé mon cœur et tu m’as appris à créer et à vivre mes rêves.

Peter : c’est moi qui te remercie Gabriel, toi aussi tu m’as sauvé du naufrage, grâce à toi petit garçon, j’ai retrouvé mon inspiration et mon coup de crayon. Nous nous sommes fait confiance, nous avons essayé et nous avons tellement gagné.

Je te souhaite de toujours rester dans ton cœur un petit garçon, garde cette lumière, cette étincelle jusqu’à la fin, c’est elle qui fait battre nos cœurs, et le temps qui passe n’y changera rien.

Gabriel repart avec sa famille, il retrouve sa vie de petit garçon, mais maintenant il a accès à quelque chose d’extraordinaire, le monde imaginaire… là où tous les rêves deviennent réalité, la où la vie est belle.


Et oui, quelque part au-delà de nos rêves, le temps court après nous tous, chaque jour au réveil nous avons un jour de plus.

Nous sommes les maîtres du temps, c’est notre perception de la vie qui nous oppresse,  courir sans cesse, mais nous pouvons changer nos hivers en printemps, quand on maîtrise la mécanique on tourne les aiguilles, on change le cours des événements.

Nous avons le choix de jouer le rôle de notre vie ou de « paraître » 

Alors, écrivez chaque page de votre vie, peignez votre vie avec vos couleurs, ne vous laissez ni influencer, ni décourager, garder confiance en vous et dans vos rêves.

Votre âme d’enfant est toujours là, en vous, et elle y sera pour toujours, il ne tient qu’à vous de la réveiller et de vivre dans votre royaume imaginaire.

Elisabeth ROGER


Références bibliographiques :

  • Neverland ou Voyage au pays imaginaire (Finding Neverland) est un film britannico-américainréalisé par Marc Forster, sorti en salles en 2004, avec Johnny Depp et Kate Winslet.
  • Le magicien d’OZ, (en anglais : The Wizard of Oz) est un film musical américain de Victor Fleming sorti en 1939, adapté du roman du même nom de L. Frank Baum.
  • Charlie et la Chocolaterie est un film américain réalisé par Tim Burton, sorti en 2005. C’est une adaptation du roman de Roald Dahl, sorti en 1964.
  • Peter Pan est le 18ᵉ long-métrage d’animation et le 14ᵉ « Classique d’animation » des studios Disney. Sorti en France en 1953 sous le titre Les Aventures de Peter Pan

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